La RSE en chiffres
Un enjeu incontournable
La quasi totalité des entreprises a pris conscience des enjeux du développement durable
% des salariés de TPE sont concernés par la démarche RSE
La RSE s’intègre à la direction de l’entreprise
% des entreprises ont impliqué leurs dirigeants
Le COMEX est moteur ou favorable à la RSE dans
% des entreprises
L’environnement est la thématique prioritaire
% des entreprises y sensibilisent leurs collaborateurs
Source : Étude focusrh
Les collaborateurs veulent travailler pour des entreprises qui s’engagent
% des salariés engagés dans une initiative de leur entreprise recommanderaient leur employeur.
Source : Korn Ferry, étude sur l’engagement des employés
% des jeunes générations valorisent l’impact social et environnemental dans leur travail. Beaucoup de candidats souhaitent remettre du sens dans leur travail
source : Voir l’étude Jam / Maddynness
Source : Korn Ferry, étude sur l’engagement des employés
Quel retour sur investissement pour l’Entreprise socialement engagée ?
L’analyse auprès des entreprises montre que les gains économiques à moyen terme induits par la RSE sont supérieurs aux coûts engagés.
La Responsabilité Sociétale des Entreprises devient un levier stratégique de compétitivité et d’atractivité pour les entreprises françaises
% : c’est le gain de performance économique moyen mesuré chez les entreprises qui se sont dotées d’une Stratégie de Responsabilité Sociétale
Source : Télécharger l’étude de France Stratégies
entreprises, pourquoi s’engager ?
La RSE et ses avantages
La Responsabilité sociétale des entreprises (CSR « Corporate Social Responsibility » en anglais) consiste, pour une société, à prendre en compte son impact social, environnemental et économique dans sa stratégie globale.
Avoir conscience des différents impacts générés par son activité peut se révéler une véritable source d’opportunités économiques. Une politique RSE sérieuse permet d’identifier ses impacts afin de concevoir une stratégie cohérente d’actions destinées à les corriger ou les minimiser au maximum.
La RSE, contrainte également par la réglementation, devient un sujet central pour toutes les entreprises.
Un cadre législatif de plus en plus contraignant se met progressivement en place : loi Egalim, loi climat & résilience, loi AGEC, loi PACTE, etc., sont autant d’arguments supplémentaires pour convaincre toutes les entreprises de l’intérêt voire de l’urgence d’une politique RSE.
Les consommateurs, vos clients, vos partenaires, vos collaborateurs exigent des entreprises qu’elles s’investissent davantage dans ces enjeux RSE.
les investisseurs intègrent plus largement les enjeux de la RSE à leurs notations, études de dossier et prises de décisions. N’omettons pas non plus le principe d’éco-conditionnalité aux aides publiques. L’intégration des enjeux du développement durable à la stratégie de l’entreprise est un quasi pré-requis pour obtenir des financements publics, ou pour répondre à des appels d’offres (public ou privé).
De plus, face à la difficulté pour recruter de nouveaux talents, donner un sens véritable à son activité, en portant des objectifs de développement durable adaptés à son profil est un moyen de les attirer, de les séduire et de les fidéliser.
Elle vise concrètement pour les entreprises à travailler sur :
La rentabilité économique pour créer de la valeur sur le long terme (produits et services intégrant les principes du développement durable),
La préservation de l’environnement pour réduire les consommations de ressources (eau, énergie, matières premières…) et les rejets (pollution de l’air, de l’eau, du sol, production de déchets, atteinte à la biodiversité, gaz à effet de serre, bruit…)
L’équité sociale (équité entre les salariés via la formation, l’évolution, la protection de la santé, la sécurité, etc.) et sociétale (contribution de l’entreprise au développement économique local du territoire comme le mécénat actif et passif, le don à des clubs sportifs, à des associations, le partenariat avec des associations locales, le choix de fournisseurs et de sous-traitants de proximité, etc…)
Et enfin, l’aspect réglementaire, qui va repenser l’implication de l’entreprise dans la société par la loi Pacte, dans la prise en compte des enjeux sociaux et environnementaux de son activité.